out commence dans une petite maison à l'orée de la forêt....une belle petite maisonnette dans la prairie entourée par les fleurs des champs du coté ouest et de cette fameuse forêt a l'ouest...
C'est dans cette maison que la veille du solstice d'été des cris d'enfants se firent entendre....Les premiers cri de Fyordïn fils de Leyvä et de Rhark. Nommé d'après le loup gardien de la forêt.
Fils d'un chasseur Fyordïn ne fut pas privé de leçon de survie et de tir a l'arc avec son père tandis que sa mère ancienne herboriste lui apprenait à lire et à écrire et commençait tout juste à lui a prendre la science des herbes.
Seulement rien ne va jamais comme on le voudrait n'est-ce pas?
Ainsi,pour son passage à l'âge adulte Fyordïn partit tuer l'animal dont on lui avait donné le nom.
Il s'en fût donc tout d'abord chercher une Belle branche pour son arc comme il était coutume de le faire lors de ce que son père appellait la cérémonie de passage.
De plus, il lui fallait absolument trouver une bonne branche car ces parent avait choisis son Aknïr (ou "frère animal") parmi le clan des Rhaktar,qui symbolisaient l’impartialité mortelle de la forêt.
Il s'en alla donc dans la forêt, marchant vers le nord , emportant avec lui juste son canif, quelques collet, une gourde faite de peau d'ours (le premier qu'il avait tué en lui concoctant une petite fosse remplie de serpents vénimeux, néanmoins lui et se parent, ne pouvant manger la viande car elle était encore imprégnée de poison, se contentèrent d'utiliser le cuir de l'animal).
Lorsque la nuit tomba, Fyordïn stoppa sa progression, en effet, en bon chasseur il savait que la nuit la forêt révélait son visage de mort,il posa donc ses collet,alluma son feu et en profita pour imaginer son futur arc.
Il ferma donc les yeux quelques minutes et visualisa la branche, SA branche, qui l'avait attendu depuis ses première larmes et ses premier pas,puis il courba cette branche, il imagina les gravures dont il l'ornerais: Un loup indomptable et rapide, Un Ours, le gardien de toutes choses et puis enfin un aigle, symbole de
sagesse,de sang-froid et de décision rapides.
Néanmoins la caresse sensuelle du soleil le tira de sa méditation:Il faisait déjà jour.Il se remit alors en route,observant tout les arbres au alentour dans l'espoir que le sien y était.
Mais ce n'est qu'à la fin de cette journée qu'il crut apercevoir quelque chose, comme un reflet doré venant de sa droite.Il se retourna donc, et vit un magnifique chêne, siégeant ici depuis la grandes guerre des trois dieu,qui semblait donner au alentour un aspect solennel.
Comme si la forêt lui rendait hommage et que ,autour de cet arbre, la terre et l'air étaient figées pour l'éternité.
Ce spectacle rappelait a Fyordïn la légende que lui racontait sa mère sur une entité qui avait prété mains forte à arkarion dans sa tache titanesque que fut le bannissement du dieu maudit, elle lui avait dit que cette entité avait aussi appris au premier maitre des potions la science de la lune et des plantes:
Le nom de entité,puis de cet arbre s'imposa alors dans l'esprit de fyordïn: il en était désormais sûr ,cet arbre était l'arbre d' Anam (hrp:mana a l'envers?!) et d'apres sa mère il scellait le pacte entre les Hommes et la nature.
Inspiré par l'aspect sacrée de l'endroit il s'agenouilla alors mais contrairement a ce que son père et sa mère faisait il ne formula aucun voeux car la beauté de l'arbre était telle qu'il n'osait rien demander puis il attendit ,profitant d'un vent doux qui semblait l'emplir de vigueur et après de longues minutes de silence . Enfin,il se détourna et entrepris de reprendre sa route lorsqu'il remarqua un branche qui semblait provenir de L'Arbre .Cette branche ne pouvait pas avoir été brisée a la suite d'une tempête ni après un dégel brutal: Cette branche était pour lui un cadeaude l'arbre,un nouveau pacte,juste entre lui,petit homme frêle et misérable et la nature,indomptable,forte,majestueuse et impartiale.
Il remercia alors de tout son coeur le ciel pour ce présent et repris sa route après avoir taillé grossièrement sa branche pour former son premier arc.
Au fur et à mesure de sa routes les proies se faisaient de plus en plus rare,signe évident que soit il touchait au but c'est a dire qu'il y avait de bonne chance pour que le prédateur de cette zone fut son son arkin soit qu'il arrivait près d'une ville ou d'un autre camp de chasseur.Il se prit alors a espérer que ce fut la première possibilitée car il avait envie de revoir ceux qu'il aimait et de pouvoir poursuivre son apprentissage de la science des herbes avec sa mère.
Néanmoins ce fut l'autre possiblitée car il failli tomber sur des pièges habillement camouflés.il chercha donc des traces d'un feu et ainsi remonté leur trace,il n'en eux pas besoin car une flèche siffla et lui érafla l'oreille droite.
Il se retourna a une vitesse dont il ne se serait pas cru capable comme quoi la peur est parfois le meilleur des moteur et se promis de ne jamais oublier d'avoir peur si cette peur lui apportait une aide si précieuse pour rester en vie.
Néanmoins cette pensée n'avait pas sa place dans la situation dans laquelle il était car bientôt les flèches se multiplièrent pour se faire encore plus harcelante.
Puis tout a coup un rire sardonique monta d'un buisson et aussitôt les flèches s’arrêtèrent de pleuvoir. Ce rire dura de longue minute mais Fyordïn ne broncha pas ni ne chercha à découvrir qui ou quoi se jouait de lui car il sentait que malgré ce rire on le tenait encore en joue et que cette fois on ne le raterait pas.
De nombreuse minutes après,ce rire s’arrêta et un homme sortit du couvert des fourrés.Fyordïn le reconnut tout de suite:c'était l'ancien apprentis de son père,celui qui avait été mis en exil car en chassant plus qu'il ne lui fallait celui-ci avait enfreint les règles de la forêt.On l'avait alors renommé de sorte qu'il ne puisse plus se montrer aux autre chasseur: Roklïn (en effet lïn désignait le déchut).
Subitement tout devenait clair , cette baisse du nombre de proie dans la forêt signifiait que Roklïn tentait d'affamer un prédateur, et il devait sans doute s'agir d'un gros prédateur pour utiliser ce genre de technique.
Subitement Roklïn lui donna une frappe amicale dans le dos et lui dit:
"- Salutation Fyordïn, préféré du vieux chasseur décrépit qu'est ton père,que viens-tu faire en ces bois?"
Fyordïn ne préféra pas répondre a cette provocation et expliqua a Roklïn qu'il cherchait son Arkin.
Ce qui sembla surprendre roklin qui s'exclama: "Mais ça tombe bien tout ça! on m'a embauché pour tuer un loup qui pourrait très bien être le tien! quelle est la marque de ton arkin?"
En effet, chaque arkin était marqué puis relâché après avoir été marqué,les marques différaient pour chaque individu et consistaient le plus souvent en des marque au fer rouge ou parfois, pour les animaux plus petit des tatouages.
Selon son père la marque de fyordin était une trace de fer rouge finement ciselé en forme de flèche enflammé.
Fyordin décrivit alors sa marque a roklïn qui paru encore plus enchanté! et en tendant sa main a Fyordïn il lui dit:
"Bon mettons nos différent de coté cette fois et entraidons nous car la proie que je pourchasse à le même signe que toi
fut pris de honte et de dégoût...l'animal était si beau....après avoir pris plusieurs jours pour y repenser il tua un autre loup et pris sa peau en guise de trophée puis rentra chez lui...néanmoins quand il rentra chez lui et montra son trophée a son père...mais celui-ci ne réagit pas comme Fyordïn l'aurait voulut,il entra dans une colère noire et puis il se dirigea vers la maison pour aller en parler avec Leyvä et enferma son fils dehors.
Fyordïn attendit alors une heure,une seule petite heure,mais cette heure allait tout changer. En effet il entendit sa mère crier et défonça la porte...et là,gisant sur le sol il trouva le corps de sa mère, étendue sur le dos elle semblait endormie si ce n'était le fait qu'il y ai une tache rouge,formant un papillon sanglant sur son tablier blanc...il tourna alors la tête et aperçu son père,son couteau de pour dépecer les prises a la main et un visage contrasté en colère et profond désarroi puis tournant son couteau vers son propre abdomen et lentement mais surement se percer le coeur.
Fyordïn aurait tant voulu bouger, l’arrêter,le frapper...mais rien,pas un geste.
Ainsi en ce jour maudit, deux âmes montèrent au ciel...et avec eux l'innocence d'un homme venant d'avoir l'âge de partir.
Trois jour plus tard , après avoir enterré ses parents, Fyordïn partit de sa maison,pour ne revenir que lorsque qu'il se sentirait digne d'être un chasseur émérite...
[Hrp:voilà,c'est plein de faute et c'est pas terminé donc pardonnez moi)